lundi 4 janvier 2016

Nouvelle Année

Bonne année à tous !

L'année 2016 redémarre et les distributions recommenceront le mardi 12 janvier 2016.
Si vous souhaitez que les mots engagement, circuits courts, agriculture biologique et locale, entraide prennent un sens concret,  il reste des paniers à pourvoir donc vous pouvez encore nous rejoindre !

dimanche 30 août 2015

L'AMAP de la Marcaoue au Forum des Associations

Le samedi 12 septembre de 10 heures à 17 heures, les membres de notre AMAP tiendront un stand au forum des associations de Gimont pour vous expliquer le fonctionnement de notre AMAP et pour vous renseigner.
A bientôt

mardi 2 juin 2015

Une place se libère...

Si vous êtes intéressé, un amapien déménage et laisse sa place pour un demi panier jusqu'à la fin de l'année.
Vous pouvez nous contacter ici

dimanche 23 novembre 2014

NOUS RECHERCHONS DES AMAPIENS

L'année 2015 a commencé et nous sommes toujours à la recherche d'adhérent. Si vous êtes intéressés n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse mail : amapdelamarcaoue@free.fr, il reste de la place !
Vous pouvez également consulter le contrat ici.
 

mardi 23 septembre 2014

Suite du Forum des associations

Beaucoup de monde est passé nous voir sur le forum des associations à Gimont le 13 septembre. Pour les personnes intéressées, il vous faudra me contacter par mail avant décembre pour que vous puissiez vous joindre à nous pour l'année 2015.
François

mercredi 25 juin 2014

La ruche qui dit NON !


La ruche qui dit NON !
Benjamin GUILBAULT, apiculteur à 90% en vente directe, distribuant dans 10 lieux d’AMAP en Loire atlantique a dit « NON » aux sollicitations d’une « ruche qui dit oui » (1) près de chez lui ! Pourquoi ?
Tout d’abord par tromperie pour le consommateur, qui pense acheter un produit en vente directe, alors qu’il s’agit de manière très subtile d’une vente par 2 intermédiaires : le propriétaire de la ruche qui prend 10% TTC sur le CA réalisé et 10% TTC pour une start-up parisienne qui grossit à vue d’œil (40 salariés, dont les créateurs sont tous diplômés de hautes écoles de commerce).

Ensuite par éthique, car rémunérer en dividendes  les actionnaires de cette entreprise commerciale de plus de 500 ruches qui sont ni plus ni moins que Xavier Niel (Président de Free), Marc Simoncini (co-fondateur du site de rencontres meetic.fr), Christophe Duhamel (co-fondateur du site marmitton.org). Les grandes enseignes de la distribution l’ont compris avec les « drive » les consommateurs cliquent sur internet pour commander leur alimentation industrielle. Ils répondent à une réelle demande : de plus pousser le caddie, ne plus perdre de temps à faire ses courses. Le paiement en ligne est sous traité par une filiale installée au Luxembourg pour quelques avantages fiscaux qu’il est facile de deviner !

Quels prix pratiqués par les producteurs qui se lancent dans cette aventure ?
- soit le même prix qu’en contrat AMAP, et faire payer le consommateur 20% plus cher, le prix à payer pour choisir ce qu’il veut quand il veut !
- soit s’aligner sur le prix du marché en vendant moins cher ses produits de 10 à 20%, c’est ce que certains producteurs en AMAP ont malheureusement  commencé à subir comme pression, c’est toujours la même histoire !
Petit rappel : les grandes et moyennes surfaces prennent une marge brute de 27% en moyenne sur un produit alimentaire (intégrant la gestion des stocks et du personnel salarié, inexistant ici)

Origines des produits : on parle proximité des produits qui viennent parfois de très loin par l’intermédiaire de transformateurs ou d’artisans (et non des paysans). La gamme des produits n’est pas qu’alimentaire (crème solaire).

Alternative possible : créer de nouvelles AMAP, alors que l’offre des paysans producteurs bio continue de croitre, la demande stagne, profitant à des intermédiaires qui se sucrent sur leur dos. Faire circuler cette information auprès des amapiens qui pourraient être séduits sans être totalement informé par ce nouveau type de « drive » préfigurant  le nouveau i-commerce du 21ème siècle, sans changer les mêmes pratiques capitalistiques du marché.

(1) La ruche qui dit oui  = Vente par internet, sans engagement, les consommateurs viennent chercher leurs victuailles chez un particulier (responsable de la ruche) très souvent sans croiser le producteur, qui n’est pas obligatoirement paysan ni bio, mais souvent transformateur ou artisan.

vendredi 13 septembre 2013

Forum des associations

Demain, samedi 14 septembre, nous tiendrons un stand au forum des associations de Gimont entre 10h et 17h.
Venez nombreux !